Kahol tente de retrouver les traces des alchimistes babyloniens.
Les appareils de distillation babyloniens étaient initialement utilisés pour fabriquer le « khôl », l’eye-liner spectaculaire des pharaons.
L’appareil lui-même a été baptisé « al kahol » (« l’esprit »), d’où le terme moderne d’alcool.
Les alternatives de Kahol sont au départ des alcools forts.
Ces bases passent ensuite par un processus de fermentation secondaire pour convertir l’alcool en acide acétique, suivi d’une longue période de vieillissement en fût et d’infusion botanique pour exprimer les saveurs et la sensation en bouche.